Cette oeuvre est une métaphore de la légèreté émanant de la danse.
J’ai souvent vu les ballerines sculpter l’espace autour d’elle comme muent par une force invisible. Peut-être une vison onirique de ce qui se cache derrière leur incroyable légèreté.
Encre et aquarelle sur papier 200g/m²
Format 28×14
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